lundi, avril 30, 2007

Hysterie presidentielle



Voila ce que l'on peut trouver devant l'ecole de ma fille.
Ou j'habite Sarkozy a fait un des plus gros score de France.
On voit que l'hysterie anti-candidat se trouve des deux cotés, les sarkozystes ne sont pas plus respectueux que leurs adversaires malgré leurs cris victimaire de vierge effarouchée.


lundi, avril 23, 2007

Social Killer

Social Killer

Le pouvoir, le respect, les électeurs et leur voix, un yacht à St-Tropez, des pauvres en fin de mois.
Comme tout peut se payer, ce que je veux est à moi.
Puisque j’ai tout acheté, mon nom est la loi.
Des biens cotés en bourse, des valeurs bien placées, quelques chevaux de courses, un whisky bien tassé.
Le pouvoir, le respect, des chômeurs aux abois, des gardiens de la paix, des cigares de Cuba.
Un chalet Lausanne, une pucelle à Bangkok, un désastre en Bretagne, un nouveau groupe de rock, une chanteuse qui cartonne, la faveur des experts, une call-girl au Carlton, un joueur en transfert.
J’ai l’estime de mes proches sauf celle de mes enfants.
Ceux-là trouve ça trop moche d’aimer autant l’argent, du vide dans la caboche, ils sont quand même content de gratter dans mes poches comme leur mère cependant, qui elle sait toujours se taire et sourire au bon moment.
Elle comprend que pour me plaire, on ravale ses sentiments.
Pas de pitié dans les affaires, les minables y laissent leurs dents, quand je pense à mon salaire, les miennes poussent obstinément.
Le pouvoir, le respect, des amis magistrats, un chauffeur, des laquais, une loge à l’opéra.
Un ou deux gardes du corps, une voiture blindée, une baignoire plaqué or, je n’ai qu’à demander.
Un conseiller de com, un avocat pointu, une secrétaire bien conne et portée sur le cul.
Ceux qui vivent dans la misère, c’est qu’ils l’ont bien cherché.
Comme disait mon grand-père : « ces gens me donnent la nausée ».
Les esclaves, les prolétaires, on les vire sans leur causer.
Un jour béni, moi j’espère prendre place à l’Elysée.
Plus personne pour me faire taire, le sourire au bon moment.
J’ai compris que pour vous plaire, on simule les sentiments.

Voilà une chanson de Lofofora qui est de mise dans cette periode electorale.
Je vous conseille l'album de Lofofora "Le fond et la Forme", d'où est tiré cette chanson.

mercredi, avril 18, 2007

Un traité d'autodefense!!


En revenant sur un ancien debat, je viens de trouver chez le libraire " face à la police/face à la justice" aux editions l'altiplano (il en parle un peu dans le canard d'aujourd'hui) Un livre dont " l'objectif[...] est d'aider celles et ceux qui décident d'assurer collectivement leur defense face à la repression la plus courante, celle dont se sert massivement la justice pour faire règner l'ordre social"

Donc le livre nous explique la loi, qui biensûr est fait de telle sorte que le type moyen ne puisse si retrouver.

il est clair que c'est un petit traité que les auteurs dissent eux même "incomplets", vu le nombre de loi et d'harmonisation et d'exceptions.

ils precisent aussi que "Ces dernières années, le droit pénal n'a cessé d'évoluer dans un sens plus répressif : les tentatives pour donner du droit une image plus conforme à ce qu'il devrait être dans l'idéologie des droits de l'homme n'y ont rien changé. Les reformes, petites ou grandes, sont incessantes : l'exception devient la règle et les lois provisoires deviennent permanentes"

Donc un petit livre qui me semble indispensable.

Pour ceux qui n'ont pas d'argent , on peut l'avoir gratuit sur le net : http://www.guidejuridique.net/introduction2.html

mardi, avril 17, 2007

Sarko et les journalistes

Sarko n'aime pas les journaliste qui ne sont pas à sa botte , on l'avait déjà vu avec ceux de France 3. Maintenant c'est l'ex directeur du figaro magazine qui parle.

La fin est savoureuse.

Cette France La!!!


Heureuse initiative, que j'ai decouvert dans le Libé de ce matin.

Cette page Web www.cettefrancela.net
nous permet d'avoir des outils à diffuser contre les lois liberticides et intollérables qui ont été votées ces dernieres années.

Comment ne pas être touché par le sort d'Elvanchevan Rajendram, srilankais tué par des militaires de son pays, après avoir été expulsé de France, car son dossier de demande d'asile politique ne semblait pas crédibles à des fonctionnaires zélés.